Category

Lifestyle bohème

Category

Si vous me suivez sur Instagram, vous avez su récemment, via un post et une Story permanente dédiée au sujet, que je suis atteinte d’une maladie nommée le lipoedème.

Cette pathologie, méconnue du grand public et du corps médical, affecterait 10% des femmes selon une récente étude allemande. Il y a quelques mois, j’ai découvert que ces douleurs physiques et psychiques que je vis depuis presque 20 ans sans que personne ne puissent jamais me les expliquer, a bel et bien un nom. Et que je suis loin d’être seule à vivre cela. Aujourd’hui, je souhaite en parler non pas pour me victimiser – j’ai horreur de cela!- mais pour que les femmes qui vivent la même chose puissent éventuellement identifier le problème responsable de leurs douleurs. Et aussi pour que les médecins en entendent, à la longue, de plus en plus parler et choisissent de se former aux nouvelles connaissances autour du lipoedème. Car les connaissances actuelles sont radicalement différentes de celles d’il y a 10 ou 20 ans. Hélas, trop de médecins et d’angiologues ignorent encore les nouvelles données et stagnent dans leurs connaissances malheureusement dépassées.

Aujourd’hui, le lipoedème est une maladie reconnue par l’OMS mais non reconnue par la plupart des assurances maladies, du moins en Suisse.

Avant de vous raconter mon histoire et mon expérience du sujet, voici quelques informations sur la dite maladie.

Vous me demandez très souvent quelles sont les musiques que je mets sur mes Stories pour accompagner mes ambiances bohèmes. Pour y répondre, je vous ai promis il y a quelques semaines, de vous préparer une Playlist Spotify qui contiendrait mes morceaux favoris en cette période de confinement. Des chansons qui, en plus de faire du bien au coeur et à l’âme, donnent le sourire et apportent une belle ambiance à nos maisons, nos petits coins cosy de paradis.

Ce temps de confinement nous invite à repenser notre intérieur et plus que jamais à nous y sentir bien. En tant que véritable amoureuse de plantes, (j’en ai quelques dizaines chez moi), je crois profondément au pouvoir apaisant et thérapeutique de la végétation. En cette période spéciale de Covid, amener de la nature à l’intérieur de chez soi me semble, plus que jamais, une bonne idée, et ce, que l’on bénéficie, ou pas, d’un espace extérieur privé. Pour ma part, durant la première semaine de confinement, j’ai ressenti le besoin d’améliorer mon intérieur et ai donc revu l’aménagement du salon, de la salle à manger et de mon bureau. Nous avons, avec Olivier, déplacé pas mal de meubles et avons réussi à trouver une configuration idéale, qui nous semble très agréable et nous permet de mieux « respirer ». En accompagnement à cela, nous avons souhaité acquérir de nouvelles plantes, notamment à suspendre. Je pense profondément que faire entrer la nature chez soi est un véritable remède à l’anxiété.

Pendant que le monde entier se concentre sur ses bonnes résolutions pour l’année 2020 et partage en boucle sur les réseaux sociaux des messages superstitieux d’influenceurs affirmants que « twenty-twenty » sera THE année qui nous apportera à tous le succès qu’on mérite enfin, je vous propose une autre vision des choses. Navrée si celle-ci vous donne moins le sourire, mais je suis persuadée qu’elle sera définitivement plus utile pour nous tous:

Si 2019 n’était pas une bonne année pour vous, pardonnez-moi mais si vous ne changez pas d’état d’esprit, il y a de bonnes chances pour que 2020 ne soit pas vraiment meilleure.

De cette affirmation, sortons immédiatement les événements malheureux comme la disparition de proches ou les accidents de ceux qu’on aime, car nous n’avons aucune influence sur cela, mais gardons par contre les licenciements, les ruptures, les conflits et les échecs qui impliquent toujours- ou presque- une part de responsabilité plus ou moins grande de notre part. En 2020, si vous souhaitez effectivement que cette année soit celle qui vous permette enfin d’accéder au « succès, » je vous propose, non pas d’écouter les bons voeux qu’on vous envoie par texto, ou les prophéties/paroles en l’air de vos influenceurs préférés, mais de concrètement et une fois pour toutes vous… donner les moyens.

Cette année 2019 aura marqué pour moi un véritable changement au niveau de ma conscience sur la situation écologique actuelle. Car même si cette problématique a toujours fait partie de ma vie (à laquelle j’intègre depuis mon plus jeune âge des gestes écologiques quotidiens), force est de constater qu’en quelques mois, un changement sans précédent a eu lieu dans ma façon de voir les choses. Ceci entraînant avec lui un ajustement de quelques habitudes, notamment au sujet des produits que je consomme et utilise dans ma vie de tous les jours.
Ravie de ces découvertes que j’ai envie de partager avec le plus grand nombre, voici les quelques premiers articles éco-responsables qui sont venus remplacer les bêtes noires de ma salle de bain ou de ma cuisine et qui sont devenus, en quelques mois ou semaines, mes nouveaux chouchous!

Cet été, Olivier et moi avons acheté un van que nous avons aménagé complètement afin de pouvoir voyager d’une manière différente, plus libre et plus proche de la nature. Nous expérimentons depuis ce qu’on appelle la « VanLife » et ADORONS cela. Libre de suivre le soleil et d’aller où il nous mène, nous roulons plusieurs heures, voir toute la journée, puis nous arrêtons là où la nature nous parle et nous plaît. Un sentiment de liberté extraordinaire qui nous a très vite rendu addict à cette façon de voyager.
Et comme nous aimons ne pas faire les choses à moitié et que nous sommes toujours à la recherche du petit « truc » sympa à ajouter à nos expériences, notre dernier van trip en Camargue, a vu un « léger » upgrade puisque nous avons décidé d’investir dans un mini projecteur portable afin de pouvoir regarder de jolis films sous les étoiles. Coco et La Prisonnière du désert, western emblématique et très esthétique des années 50 avec John Wayne, ont inaugurés nos soirées cinés à la belle étoile. Le bilan de ces premières: un rêve éveillé!

Etre entrepreneur fait souvent rêver. Qu’en est-il vraiment de cette vie et de ce mode de vie, souvent fantasmé ou incompris ? Indépendante depuis presque 5 ans, voici mon parcours, les difficultés rencontrées et l’équilibre que j’ai trouvé.

 

J’avais 28 ans lorsque j’ai décidé de mettre un pied dans l’indépendance professionnelle et que j’ai pris mon courage à deux mains pour créer ma marque de bijoux BeBoho.com. Une décision qui s’est imposée suite à une déception professionnelle qui, je le sentais, était entrain de me plonger dans une profonde déprime. Emplie de cette forte énergie de désespoir, j’ai décidé de l’utiliser non pas pour me battre en justice, mais pour en faire quelque chose de profondément positif et constructif. C’est là que ma marque est née. Très vite, BeBoho a commencé à avoir du succès. Le fait de gagner mon argent par moi-même et de gérer ma petite entreprise comme je le sentais me donnait des ailes. Je prenais goût à la vie d’entrepreneur.

Elle est l’un de mes plus gros coup de coeur de ces deux dernières années. Blogueuse et Instagrameuse, elle fait partie de ceux qui donnent du sens et de la qualité à un métier encore difficilement compris. Elle, c’est Whitney Leigh Morris, américaine de 38 ans originaire de Gainesville, en Floride, créatrice de the TinyCanalCottage.com, un blog au contenu éditorial et à la signature singulière. Elle est aussi l’auteur du livre « Small Space Style ».
Sa force : avoir fait de son style de vie, vivre dans une tiny house (un petit cottage pour être exacte), un véritable sujet d’intérêt. Whitney donne ainsi des centaines d’astuces intelligentes pour aménager son intérieur de la manière la plus optimale et pratique possible. Particulièrement douée en décoration, son cottage ressemble à un petit paradis bohème où chaque chose trouve parfaitement sa place et son utilité. Et pour ajouter une couche de vernis à ce joli tableau, le mini cottage se trouve dans l’un des quartiers les plus enviés et charmants de Los Angeles : les canaux de Venice !
J’ai eu l’immense joie de rencontrer Whitney lors de mon dernier séjour dans la cité des Anges. Chez elle, nous avons passé près de 2 heures à discuter de son parcours, de ses inspirations et de son style de vie hors du commun. Rencontre.

(Article écrit pour le magazine online Café Royal en tant qu’invitée)

Et si nous profitions de l’automne et de l’énergie de cocooning et de soin de soi que cette saison amène avec elle pour revoir notre routine quotidienne ?

C’est ce que j’ai fait, dernièrement, et pour mon plus grand soulagement. A 34 ans, avec mon mode de vie d’indépendante pleine de projets, j’ai récemment réalisé que cette vie à 100 à l’heure, bien qu’elle soit extrêmement stimulante, n’allait pas servir ma santé, ni mon corps indéfiniment. Alors que je savais pertinemment depuis plusieurs mois qu’il fallait que je lève le pied, c’est finalement en septembre dernier que j’ai ressenti soudainement l’urgence d’aménager mon quotidien différemment lorsque mon corps, ma précieuse « machine », m’a montré des signes concrets de surmenage.

Comme pour chacun de nos van trip, Olivier et moi aimons prendre dans notre van de quoi créer un campement bohème qui nous fasse rêver. Poufs (qui nous servent aussi de sièges lorsqu’on mange), coussins, macramé, lanternes et bougies, couvertures et paniers, mais aussi un ou deux tapis, et enfin une bâche pour tout étaler dessus en préservant nos affaires, tout ceci voyage systématiquement avec nous. Avec une bonne organisation et grâce à nos rangements bien pensés (auto-congratulation, bonjour! 😉 ), notre matériel passe sans que nous ne perdions de place ou que nous ne marchions dessus.

Mais attention! Pour ce nouveau van trip en Camargue, nous avons ajouté un élément qui est devenu clairement l’un de nos meilleurs achats de ces derniers mois: