Category

Alimentation

Category

Durant toute mon enfance, ma mère a veillé à ce qu’on mange bien. Dans ce but, elle n’a jamais ménagé ses efforts pour nous fournir des snacks sains, la plupart du temps bio. Si cela nous valait notamment des récrés moins appétissantes que celles des copains, je la remercie pour cette éducation qui m’a sensibilisé considérablement à la diététique.
Mais, de ce chapitre alimentaire, je me souviens aussi d’une période qui me laisse un goût désagréable en bouche! Celui de la margarine qui est venue -durant quelques temps et sans doute jusqu’à ce que mon père demande un retour à la « normal »- troubler mes tartines. Cette pate jaunâtre à l’époque et qui ressemblait de loin, de très loin, à du beurre, m’a traumatisé! Et encore jusqu’à peu, il n’a plus fallu me parler de margarine ou de quelque beurre végétal que ce soit, cela me rappelant irrémédiablement ce goût désagréable de ces pauvres tartines dénaturées.

Et puis j’ai entendu parler -en bien- du beurre végétal Flora Plant, et ai donc finalement décidé de le goûter. Timidement d’abord, j’y suis allé à la pointe du couteau! Aujourd’hui, je l’étale généreusement sur mon pain favoris aux graines, m’offrant à chaque fois un grand plaisir gustatif. Mais si le bon goût de beurre de Flora Plant et sa consistance très agréable à tartiner m’ont immédiatement convaincu, c’est l’éthique derrière ce produit qui a terminé de me séduire!

Dans ma démarche de diminuer drastiquement les sucres et les glucides en général de mon alimentation (à tendance Paléo, mais moins poussée), j’ai commencé à cuisiner différemment et à bannir maintenant sans exception (déjà que j’en mangeais peu souvent!) les produits sucrés du commerce.
C’est dans cette énergie que j’ai souhaité commencer à faire mon granola maison pour les matins doux sans sucre 🙂 Et puisque ce premier granola est un succès, je vous partage avec joie ma recette approximative qui a ça de bon que vous pouvez, sans contrainte, ajouter les noix et graines que vous souhaitez! Un REGAL!!!

En matière d’écologie, de protection de notre planète et de notre future, nous connaissons depuis quelques années un certain nombre de règles qui semblent, petit à petit, entrer dans notre quotidien. Citons notamment celle d’éviter de prendre notre voiture pour des courts trajets, de ne pas consommer de viande plus d’une fois par semaine, de réduire au maximum l’électricité que nous utilisons chez nous, de trier nos déchets, ou encore de prendre un sac réutilisable lorsqu’on fait nos courses. Un bon début, certes, mais il semblerait toutefois, vu les chiffres, qu’un commandement essentielle du consommateur de l’an 2000 nous échappe encore…
« Tu ne gaspilleras point ta nourriture! ».

Si cela semble pourtant basique, la Suisse, en matière de gaspillage, affiche malheureusement une moyenne largement supérieure à celle européenne: Chaque an, notre pays produit 2,3 millions de tonnes de déchets alimentaires. Soit 300 kilos d’aliments par personne qui sont perdus. Notons que dans deux tiers des cas, selon la Confédération, ces aliments auraient encore pu être consommés au moment où ils ont été jetés…

J’ai toujours été habituée à manger de la viande. Enfant, mes parents m’ont élevée avec de la « bidoche » aux repas et c’est en carnivore que j’ai grandis. Or, les années passant, j’ai commencé à conscientiser la vie derrière la viande que je mangeais… Ainsi, depuis plusieurs années maintenant, j’ai de plus en plus de peine à en avaler. Si le goût n’est pas le problème, mon souci est plutôt psychologique. Je ne peux m’empêcher de penser à l’animal, et ce à chaque bouchée. Je pense qu’avec la maturité, et le fait de remettre en question ce que mes parents m’ont appris, ma conscience s’est agrandie. Les polémiques autour des conditions atroces d’élevage et abattage que les animaux subissent m’ont également aidé à me positionner. En fait, je pense que lorsqu’on est un esprit sensible, compatissant et que la vie tient une place sacrée à nos yeux, tôt ou tard, manger de la viande, devient un cas de conscience.
Ceci étant, j’ai décidé pour la première fois ce Noël, de ne pas cuisiner de viande pour notre plat de fête et ai proposé un Noël végétarien à Olivier. L’idée lui a tout de suite plu. Comme moi, il mange de plus en plus souvent végétarien et a drastiquement diminué sa consommation de viande. En effet, nous n’en achetons plus qu’extrêmement rarement et je n’en cuisine déjà plus, sauf lors de très rares exceptions (typiquement pour un repas de fête). 

A chaque époque sa grande tendance culinaire. Début 2000, nous découvrions les sushis et les popularisions, provoquant un véritable phénomène de société et ajoutant une nouvelle habitude alimentaire en Occident. Aujourd’hui, c’est la tendance « Bowls » qui est entrain de redéssiner notre façon de manger. Courant venu tout droit des USA (mais certains diront inspirés de plats asiatiques), le principe consiste à disposer dans un bol plusieurs catégories d’aliments: céréales, fruits, super-aliments, légumes pour former un repas sain et gourmand. Personnalisables et imaginables à l’infini, voici le concept du moment dont la planète trendy raffole, ainsi que mes recettes et créations favorites!

Aaah les fêtes… Ses apéritifs alcoolisés, ses repas riches en graisses et ses desserts sucrés… Une période délicieuse durant laquelle nous soumettons notre organisme à rude épreuve, y augmentant les déchets toxiques.
Alors après les festivités quoi de mieux qu’un petit coup de pouce bienveillant pour aider notre corps à récupérer ?
Voici quelques conseils finement choisis pour réussir votre détox en toute simplicité !