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Développement personnel

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Si vous me suivez depuis plusieurs années, vous savez que j’adore les festivals d’été et que j’ai pour habitude de créer des looks élaborés lorsque je me rends à l’un d’eux. Mes efforts étant décuplés lorsqu’il s’agit de Coachella en Californie et de Paléo, l’un des plus grand festival dans mon pays d’origine, la Suisse. Mais certains (surtout en Suisse où les gens n’ont pas l’habitude de se « looker » lorsqu’ils vont en festival!) se demandent pourquoi est-ce que je fais ça, quel est le but de cette démarche… Et bien il y a une raison principale qui motive l’investissement que je mets dans chaque création de look, et cette raison risque de vous surprendre. Car en effet, il ne s’agit ni de se faire remarquer, ni d’être plus jolie ou plus voyante que les autres. Non, derrière ces looks, c’est un message, une impulsion que je souhaite donner aux gens à qui cela parlera, selon ce qu’ils vivent dans leur vie… En effet, je souhaite montrer qu’en festival, au travers simplement d’un look différent, on peut faire l’expérimentation de l’audace, du courage, de l’affirmation de soi, sans conséquence aucune… Et vous savez quoi? Cela peut changer notre vie. 

Pendant que le monde entier se concentre sur ses bonnes résolutions pour l’année 2020 et partage en boucle sur les réseaux sociaux des messages superstitieux d’influenceurs affirmants que « twenty-twenty » sera THE année qui nous apportera à tous le succès qu’on mérite enfin, je vous propose une autre vision des choses. Navrée si celle-ci vous donne moins le sourire, mais je suis persuadée qu’elle sera définitivement plus utile pour nous tous:

Si 2019 n’était pas une bonne année pour vous, pardonnez-moi mais si vous ne changez pas d’état d’esprit, il y a de bonnes chances pour que 2020 ne soit pas vraiment meilleure.

De cette affirmation, sortons immédiatement les événements malheureux comme la disparition de proches ou les accidents de ceux qu’on aime, car nous n’avons aucune influence sur cela, mais gardons par contre les licenciements, les ruptures, les conflits et les échecs qui impliquent toujours- ou presque- une part de responsabilité plus ou moins grande de notre part. En 2020, si vous souhaitez effectivement que cette année soit celle qui vous permette enfin d’accéder au « succès, » je vous propose, non pas d’écouter les bons voeux qu’on vous envoie par texto, ou les prophéties/paroles en l’air de vos influenceurs préférés, mais de concrètement et une fois pour toutes vous… donner les moyens.

Etre entrepreneur fait souvent rêver. Qu’en est-il vraiment de cette vie et de ce mode de vie, souvent fantasmé ou incompris ? Indépendante depuis presque 5 ans, voici mon parcours, les difficultés rencontrées et l’équilibre que j’ai trouvé.

 

J’avais 28 ans lorsque j’ai décidé de mettre un pied dans l’indépendance professionnelle et que j’ai pris mon courage à deux mains pour créer ma marque de bijoux BeBoho.com. Une décision qui s’est imposée suite à une déception professionnelle qui, je le sentais, était entrain de me plonger dans une profonde déprime. Emplie de cette forte énergie de désespoir, j’ai décidé de l’utiliser non pas pour me battre en justice, mais pour en faire quelque chose de profondément positif et constructif. C’est là que ma marque est née. Très vite, BeBoho a commencé à avoir du succès. Le fait de gagner mon argent par moi-même et de gérer ma petite entreprise comme je le sentais me donnait des ailes. Je prenais goût à la vie d’entrepreneur.

Mi-mars et juste avant mon départ pour Los Angeles, j’ai eu le plaisir d’accueillir chez moi Valérie Demont pour une interview enregistrée sous forme de podcast pour son émission From roots to heaven.
C’est suite à la lecture de mon article sur ma prise de position relative au statut d’influenceuse que Valérie m’a contacté et a souhaité me rencontrer. Et puisque ce n’est pas évident de parler de soi et de l’intérêt qu’une personne peut émettre pour soi, voici les mots de Valérie écrit dans la présentation du podcast en question 😉

« J’ai tilté sur un article de blog de Céline Perret de la Vie Bohème où elle affirmait souhaiter renoncer à son statut d’influenceuse. En découvrant son blog, je suis tombée sur plusieurs articles très spirituels et ils ont vibré en moi. Je l’ai contacté pour réaliser cet épisode.

Dans ce 18ème épisode de podcast de From Roots to Heaven avec Céline Perret, nous parlons de :
-son parcours de vie.
-son mode de vie bohème, son rapport avec Yakari.
-Los Angeles: son eldorado, son paradis. Elle part entre 2-3 mois par année vivre à Los Angeles. Elle s’en inspire,
-son statut d’influenceuse
-énergie: faire confiance à la vie, lâcher d’un côté pour laisser venir de l’autre côté. Retrouver un équilibre.
-son agence de communication
-inspirer, inspiration
-son organisation et son business
-sa vision et son utilisation d’Instagram
-l’équilibre entre la superficialité et la profondeur »

Voici donc l’interview. J’ai aimé répondre aux questions de Valérie et aborder avec elle des sujets profonds, parfois intimes de ma vie, ma façon de la percevoir, ma spiritualité, mais aussi ma façon de gérer mon business, mon feed Instagram, mes éditions photos, etc,… Cette interview restera un excellent souvenir. J’espère qu’elle vous plaira!
Bonne écoute et n’hésitez pas à la partager sur les réseaux sociaux si le coeur vous en dit! 🙂

Il est temps pour moi de prendre position au sujet des influenceurs, influenceuses et des valeurs véhiculées à travers eux. Je n’ai, pour ma part, pas souhaité en être une.

Mon métier, c’était animatrice radio et journaliste en presse écrite. Lorsque j’ai ouvert mon blog La Vie Bohème il y a un peu plus de 2 ans, c’était par besoin, quasi viscéral, de raconter mon monde intérieur débordant et de transmettre mes rêves et mes valeurs à des lecteurs. J’avais envie, à cette période, de renouer avec la plume que j’avais délaissée, épuisée après une longue période intense au sein d’un grand magazine.
Avec 2147 connexions le premier soir, le lancement de mon blog a été un succès. J’ai compris, dans les jours qui ont suivi, que cette aventure allait peut-être être plus sérieuse que ce que j’avais imaginé et ai alors développé mon profil Instagram pour promouvoir La Vie Bohème. Passionnée par l’image et adorant m’exprimer également par ce moyen, mon flux Instagram a du devenir intéressant car une communauté grandissante, en plus de celle qui me suivait déjà depuis mon époque radio, s’est formée. Les marques ont rapidement commencés à me proposer des partenariats, des collaborations, des contrats. Inévitablement, j’ai glissé, et ce, sans m’en rendre compte, dans la catégorie de celles qu’on appelle, les « influenceuses ». 

« Tu as la lumière en toi. » Voilà le sms que m’envoyait un ami cher ce matin. Comme ça, en toute bienveillance, de manière spontanée. Un allié de vie qui, avec quelques autres, deviennent aujourd’hui, plus que jamais… ma famille.
Car je me sens brisée. Sur la voie d’un long deuil. J’ai vécu un coup dur familial mais ne m’étendrai pas plus sur le sujet. Quoi qu’il en soit, ce nouveau coup de poing au coeur m’inspire des paroles, des réflexions, parce que même quand je pourrais être abattue, encore une fois par la vie, je ne lui laisse pas ce pouvoir. Comme à chaque fois que je me sens sombrer, couler avec mes larmes, cette boule de feu qui vient de je ne sais où, au plus profond de mon être, sort et vient me redonner instantanément de la force, me permettant de prendre du recul et d’analyser la nouvelle leçon de vie à apprendre. C’est ce qu’il s’est passé une fois encore ce soir. Mes larmes sont séchées. Pas forcément à l’abris de couler à nouveau, mais pour le moment, elles se tiennent à carreau, m’offrant de méditer sur l’état de ma vie actuelle. Sur mon bonheur. Et ma volonté à être heureuse. Car oui je le suis. Et oui, je le veux!
Mon bonheur laisse perplexe parfois. Jaloux d’autres fois… Mais à 33 ans, j’admets ce bonheur avec joie et sans complexe. Je vis, même si il y a des mois difficiles, de mes passions: mon blog, mon activité de journaliste, mon agence de prod et ma marque de bijoux. Je suis créative et je compose ma vie pour qu’elle me corresponde. Pour qu’elle me plaise, m’épanouisse. Si un chemin semble bouché, j’en cherche un autre pour toujours aller exactement là ou je le souhaite, là où je l’ai imaginé.

Mais, chers tous…. 

Depuis des années, je m’interroge sur le cliché. Cette pensée figée associée à une image ou une information, que nos parents, nos camarades, notre société nous a inculqué d’une manière ou d’une autre. De manière confortable, notre cerveau en est rempli et il n y a pas un jour qui passe sans que nous n’associons, quasi automatiquement, une pensée toute faite à un comportement, une image, une rencontre, une info.
Ceci me semble dangereux… et si réducteur pour nous-mêmes. Ainsi, sans réfléchir, nous apposons un jugement immédiat sur un objet quelconque. Un automatisme qui nous transforme en juge sans humanité. Prenons l’exemple d’un couple que l’on croise dans la rue. Lui a 70 ans, elle 35. La première pensée qui nous vient automatiquement en tête est le dégout. On se retrouve là, face au cliché de la jeune femme vénale et du vieux qui se paie une minette.

Ce matin j’écrivais en légende d’une photo sur Instagram que je suis « Née pour être libre et remettre les principes en question. » Ça sonne comme une mission spéciale, un truc important, mais n’ayez crainte, mon égo n’est pas surdimensionné à ce point! 😉 Il s’agit en fait d’une des nombreuses leçons de vie qui, à mon sens, concernent la majeur partie des gens. « Remettre les principes en question » signifie en fait « Apprendre à penser par soi-même », ce qui ne parait pas grand chose mais est en réalité tout un monde et tout un cheminement intérieur. Un chemin parfois douloureux mais qui libère, offre au final de rencontrer qui l’on est vraiment, de découvrir quels sont ses valeurs à soi, pour enfin être cohérent avec celui ou celle que nous sommes.

Un peu plus d’un an et demi après notre première vidéo avec Caryl Cantin, voilà un second entretien dans lequel nous avons souhaité traiter plusieurs thèmes plus généraux et qui nous concernent absolument tous. Le bonheur par exemple. Comment le reconnaître et le trouver? Comment être en harmonie avec soi-même et retrouver un équilibre si l’on souffre au travail ou de sa vie de couple par exemple? Comment se protéger de l’énergie, parfois usante, des autres? Caryl vous explique aussi comment définir ce qui vous fait profondément vibrer et ce qui peut être un but de vie. Vous entendrez enfin des conseils pour apprendre à écouter votre intuition, et à reconnaître la voix qui vient du coeur de celle qui est dictée par le mental.
Et puis, comment faire taire la peur? Tant d’informations et de pensées qui, je l’espère, vous toucheront ou trouveront résonance en vous. Il est possible, Caryl et moi, que nous fassions une prochaine vidéo. Si vous avez des questions ou que vous souhaitez traiter de certains sujets, n’hésitez pas à les noter en commentaires de cet article! Nous en tiendrons compte 🙂

On dit que parfois le bonheur est quelque chose de simple. J’ai envie d’affirmer que le bonheur ressemble en fait toujours à quelque chose de simple! Cet après-midi là, mon coeur s’est envolé! Je me suis senti heureuse, emplie de joie, de gratitude. Auprès de ces deux chevaux, en plein désert de Californie, j’ai senti mon corps entier se charger d’énergie vitale et positive. Je crois qu’il est bon de prendre conscience que la nature est la base de ce dont nous avons besoin pour nous connecter à nous-même et soigner les blessures de notre âme et de notre égo.